La salle des troubadours...

Salle des troubadours




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Si vous avez des musique a faire écouter cela sera sans problème(moyen âge ou style). Faites le moi savoir par mp ou par la voie des sage (msn) à bilok-rpg@hotmail.fr

Maj
Ajout de musique médiévale

Musiqua Antiqua
Belle qui tient ma vie (version un peu mieux)
Trouvères et troubadours


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Ajout de nouvelles musique ...

Moi j'ai une chanson:

A Mâcon tout est mort,
A Mâcon tout le monde dort!
On ne fait plus rien,
Et l'on devient des bons à rien!
Hop hop bougeons nous !
hop hop faisons les fous ! =)

merci Bilok les troubadours c'est une bonne idée de distraction

Tristemine s'assit sur le rebord de la fontaine et commença une chanson en invitant les enfants qui jouaient sur la place à venir l'écouter.


La Louve de Mâcon

Refrain

Fais donc attention

A la Louve de Mâcon


Qui rôde dans le bois

A l'affût aux abois


refrain


Qui hors du bois

Soudain s'élancera


refrain


Son souffle sur ton dos

Puis blessé par ses crocs


refrain


Qui de toi, rien ne laissera

Puis retournera au bois


refrain


Qui tapie dans le bois

Se languit déjà de toi !

arette Tristemine !!!!!!!!!!!!

ton chant n'a rien à voir avec notre beau et pesible village donc vas chanter sa dans la rêt plutot

Tristemine regarda Lolita armé de sa seule mandoline.

Vous n'aimez pas ma chanson ? Alors que pensez vous de celle-ci ?

Dame de Fer au coeur de pierre

refrain

Car je suis

Dame de fer au coeur de pierre



De ma haute tour d'ivoire

J'observe de mon regard noir

La foule des gens que je hais

Et que bientôt aux pieds je foulerais



refrain


Telle une louve tapie dans le bois

J'attends mon heure qui bientôt sonnera

Lorsque du bois je sortirais

Plus d'une vie avec moi j'emporterais



refrain


Armée de ma seule haine des gens

Je m'abreuverais dans leur sang

Un sourire trônant sur mon visage

Tandis que la vie quittera leurs corps devenus sages



refrain


Assoifée de pouvoir

Craignant la venue du soir

Comme une reine dans ma tour

Je m'enfermerais à double tour



refrain


Attendant l'aube nouvelle

Sans trouver le sommeil

Ce nouveau jour haï qui viendra

Et un nouvel ennemi à haïr m'apportera


refrain[b]

Au moins quelqu'un qui compose dans ce désert artistique !

Bravo Tristemine !!!

CLAP CLAP CLAP !!!

NOus devrions ouvrir un théâtre à Mâcon !

zwart je pourrais te parler un peu plus tard

Une petite chanson qui sent bon le vécu héhéhé


La Geste du Déserteur

refrain

Moi...
...le déserteur



Je suis heureux

Car je suis en vie

Je suis en vie

Car je suis peureux


refrain


A mes compagnons de ripaille

Qui pourissent sur le champ de bataille

Je n'ai laissé que mes armes

Comme uniques compagnes


refrain


Je n'ai gagné aucun honneur

Mais souvent connu la peur

Mes compagnons ont de la terre dans les yeux

Moi le vent dans mes cheveux


refrain


Ni or ni gloire je ne récolterais

Mais ma famille bientôt je retrouverais

Car ce n'est pas la mort qui m'a prit par la main

Mais la vie qui m'a montré le seul vrai chemin


refrain

ecoute la chanson de tristemine

Le conte de " Longuemoustaches et de la Louve "


Un jour, il y a bien longtemps,

Deux êtres méchants arrivèrent dans un village charmant.

Le premier se nommait Longuemoustaches, Comte de Nabot !

Haut de trois pommes, il vivait dans un heaume qu'il portait toujours sur le dos. Seuls dépassaient ses énormes pieds, ses petites mains et ses si longues moustaches.

L'autre se nommait la Louve.

Féroce créature des bois au pelage noire comme la nuit aux crocs acérés.

On ne voyait jamais l'un sans l'autre, Ombres fidèles qu'ils étaient.

Longuemoustaches toujours sur le dos, ils allaient tous deux par monts et par vaux commettre leurs méfaits.



Chaque mois, ils prirent l'habitude d'exiger un tribut des habitants. Leur demandant toujours plus !

Longuemoustaches exigaient les plus belles plumes pour son heaume, tandis que la louve pillait les greniers.

" Des plumes, je veux plus de plumes !"

Hurlait le comte de Nabot.

" De la viande...Donnez moi de la viande saignante "

Bavait la Louve.



Les habitants, lassés, en appelèrent au roi, afin de se débarasser des deux êtres maléfiques.

Le roi, bien peiné d'apprendre le sort de ses sujets, leur envoya alors un de ses chevaliers armé d'une longue épée.


Le preux chevalier à peine arrivé, que Longuemoustaches le trancha en deux !

Longuemoustache et la Louve prirent le double qu'à l'habitude et se retirèrent.


Les habitants, outrés, en appelèrent à nouveau au roi, pour qu'il les débarasse des deux démons.

Le roi, surpris d'apprendre la défaite de son chevalier, leur envoya son plus grand champion.

Le champion fut à peine arrivé, que la Louve se jeta sur lui et le dévora tout cru !

Longuemoustache et la Louve prirent le triple qu'à l'habitude et se retirèrent.


Les habitants, désespérés, en appelèrent une dernière fois au roi, le suppliant de les débarasser de ces mauvais génies.

Le roi, effondré d'apprendre la mort de son champion, ne sut que leur envoyer cette fois !


Un vieil ermite se présenta au château. Il avait entendu parler des malheurs que causaient Longuemoustaches et la Louve dans le royaume.

Le roi sceptique, ne sachant plus quoi faire, promis au vieil ermite de lui donnez ce qu'il voulait si il réussissait là où ses braves avaient échoués.

Le vieil ermite montra du doigt un objet de la salle et dit que ce dernier lui suffirait. Dans un grand sac il emporta l'objet.

Le vieil ermite à peine arrivé, que Longuemoustaches et la louve se présentèrent devant lui.

" Tu n'as rien à faire ici !" Hurla Longuemoustaches

" Je vais te dévorer " persifla la louve

Le vieil ermite s'assit sur le bord du puit et posa le sac devant lui.

Longuemoustaches prit son épée trop grande pour lui et s'approcha du vieil homme.

Celui ci ouvrit légèrement le sac...

Soudain le Comte de Nabot se mit à hurler ! Il lâcha sa lourde épée et dans son heaume se cacha tout entier.

Le vieil ermite saisit alors la minuscule tortue de fer avant de la précipiter dans le fond du puits derrière lui.


La louve en colère ragea ! Elle se précipita vers le vieil ermite qui tenait toujours son sac devant lui.

A nouveau, celui-ci ouvrit légèrement le sac...

La louve, soudain s'arrêta, elle gémit comme jamais avant et abandonna sa peau noire sur place pour se réfugier nue dans les bois.


Les habitants ravis sortirent de leur retraite et demandèrent alors au vieil homme ce qu'il cachait dans son sac. Le vieil ermite sourit et du sac sortit un grand miroir.

" Ces créatures au coeur si laids ne supportent jamais de voir leurs propres reflets ".



Si un jour vous passez par ce village charmant, peut être entendrez vous, rôdant et gémissant dans les bois, une louve ne supportant plus le froid !

Et si d'aventure, du puits un vieux heaume rouillé dans un seau vous remontez, présentez lui vos respects, il s'agit de tout ce qu'il reste du Comte de Nabot !

Iacobus passait devant cet endroit inhabituel pour lui et entendit une voix qu'il connaissait fort bien
Il entra écouter cette habile prose si habilement mise en musique

j'en étais sur c'est bien toi mon cher Tristemine, decidement soit tu bois ou tu chantes c'est pas compliqué avec toi

Iaco écouta la chanson jusqu'à la fin et se gratta la tete pensif

dis-moi tes chansons font souvent reference à de vraies personnes, je vois pas de qui tu parles dans ta chanson
tu veux dire qu'il y aurait des leu dans les forets environnates ?


Iacobus s'en alla toujours en se grattant la tete en cherchant de qui parlait cette chanson fort belle comme à l'accoutumée
une bonne chopine l'aiderai à comprendre la profondeur des paroles de cette chanson

Petite Princesse de Mâcon


Toi Petite Princesse de Mâcon

Toi dont je tairais le nom


Je garde de toi un trou dans mon chapeau

Et un bout de ton beau regard dans mon coeur


De ton seul rire tu désarmes

Le plus dur des hommes en armes


Toi celle aux pas mal assurés

Qui traverse Mâcon la Belle


Où ne vivent que ces géants

Que les enfants comme toi appelent les grands


De ce monde dont tu seras un jour Reine

Tu rêves aujourd'hui sereine


Paisiblement endormie

A côté de ta mère assoupie

écoute avec attention , puis dit :

et bien c'est vrai que tu n'es pas compliqué tristemine .

Elle vas s'assoir sur une chaise fatiguée

Zwart ecouta avec grande attention les paroles de son ecuyer

Tristemine, le puits, le heaume tout rouillé dont tu parles ? Il faudra que je te parle ...

Zwart s'eloigna inquiet son heaume en main em regardant dans le fond de celui-ci

La Chanson de la Belle Dame aux Cheveux de Feu

Refrain :


Elle est


La Vestale du feu sacré où fut forgé mon coeur

La Douce lueur qui sur mon âme aimée s'étale


Elle est


Celle qui illumine le sentier de ma vie

Celle qui sublime la plus petite de mes envies


Elle est

La Femme dont chaque sourire est un rayon de soleil

La Dame dont chaque soupir est brûlure mortelle


Elle est

Celle qui me livre au bûcher de la passion

Celle qui me délivre de mes vaines obsessions


Elle est

La seule flamme par laquelle je veux être un soir consummé

La seule dame dans les yeux de laquelle je veux voir ce brasier


Elle est

Ma Belle Dame aux cheveux de Feu

Citation :

Je ne sais si la vie me donnera lumière...
Je ne sais si la vie me donnera ma terre...
Je ne sais si mes nuits seront moins solitaire...
Je ne sais si mes jours finiront en prière...

Mais je sais cette haine, mauvaise conseillère;
Je sais l'odeur du feu et de l'âcre fumée...
Je sais l'exhalation que distillent les chairs
Quand elles sont de flammes ainsi martyrisées.

Et je hais... oui, je hais... tous ceux qui l'ont brûlée...

Petitefleur

La Justice dans de beaux draps

Refrain

Avec toi
La Justice est dans de beaux draps




Cela plus d'un mois

Que j'attends des nouvelles de toi

De ton jugement qui tombera ou ne tombera pas

Mais tu ne te montres pas



Cela fait plus d'un mois

Que je reste assis là devant toi

De ton marteau qui frappera ou ne frappera pas

Mais tu ne réponds pas



Cela fait plus d'un mois

Que je vis sans le son de ta voix

De savoir si le glas sonnera ou ne sonnera pas

Mais tu ne te réveilles pas



Cela fait plus d'un mois

Que j'attends tout de toi

De savoir si la justice sera ou ne sera pas

Mais tu t'en fous n'est ce pas

Oh mère, ma pauvre mère...
Elle a frappé si fort...
L'inquisition eu tord :
Tu n'étais pas sorcière !...

Mais la haine a parlé,
Cette indicible haine,
Qui arrache avec peine
Et douleur nos aimés.

Tu disais des mots vrais
En cassant leurs secrets.
Alors pour te faire taire
Ils t'ont nommée sorcière !

Je hais depuis ce jour,
Ceux qui n'ont de l'amour
Qu'une version tronquée.
Car j'en ai trop pleuré.

Ma mère, ma pauvre mère,
L'Inquisition a tord,
Elle a frappé trop fort :
Tu n'étais pas sorcière...

Petitfleur.