[RP] salle d'auberge

de derriere le comptoir le bourrain regarda, d'un air amuser, le triste volatile qui piallais, se demandant si cela etait un signe que la louve etait crevée et réincarnée à sa vrai valeur....

perdu dans ses pensée heureuse, il n'avais pas entendu fufu entrer, et ce n'est que lorsque bozz pris sa voix de porcin heureux qu'il la remarqua...

bien l'bonjour, mais je crois qu'on c'est deja croiser au moin une fois, a un pot de depart il y a quelques mois...

il sourit en allant chercher une paire de bon godets pour tout le monde et taper le volatile par la fenetre

quoi qu'il en sois heureux de vous voir par ici, ca change des terroristes une tête bienveillante! et si besoin il y a des chambres libres a l'étage, donc installe toi et fait y comme chez toi.

- Bien le bonjour tavernier. Dites l'oiseau là...

D'un geste Fufu désigna la vilaine corneille,

- Si on essayait de l'ignorait celle-là, elle finirait par se lasser et repartirait déguster un Armagnac en nous laissant à notre Bourgogne non ?
Et pour la chambre, ben... euh.... c'est que j'ai une maison ici moi té ! La maison de ma mère Romance du Moulin. La maison du lac...

Et soudain son esprit s'égara. Tant de souvenirs flottaient encore à la surface du Lac...
Un affreux craillement la rappella à la réalité. La corneille cherchait à attirer leur attention mais tout au plaisir des retrouvailles,
Fufu déposa un bisou sur la joue mal rasée de la vieille canaille sans lui accorder le moindre regard.

arf, je ne suis plus Colonel ..j en ai décidé ainsi
j ai participer avec Guerriere à une mission pour le Duché, j arriverais à retrouver trace de cela.nous avions été loin sur les routes.
je ne savais qu elle avait eu une fille..

En tout cas , je ne peu que vous souhaiter bonne vie dans cette ville...

Arf, je ne connais pas votre pére, mais je pense que nous ferons notre possible..

Puis d un signe vers superbourrain,

et bien venez donc nous trinquerons ....

Un vieux pigeon, mi-mort, mi-déplumé, se posa (ou plutot tomba) dans la choppe de bière du patron de l'auberge. A sa patte, un parchemin chiffonné sur lequel on pouvait encore lire:

Citation :

Salut Patron!

On part de dijon ce soir! On sera donc là mercredi matin. (On aurait du arriver demain mais Pï a oublié de partir (mais il dit que c'est parce qu'on a du attendre Manur pfff) ) donc voilà à mercredi.

Commence à stocker le vin sous Tavern, qu'il nous le mette à température, on a des choses à fêter!

A mercredi!
Breiz

Jean déambulait dans les ruelles de Mâcon lorsqu'il s'arrêtât devant l'auberge de la bougresse, jeta un coup d'œil par la vitre et toqua à la porte, adressa un sourire à la tenancière, pris place sur l'un des bancs, demanda une pinte de bière et admira la propreté de l'endroit, lorsque Breiz vint le servir il lui adressa quelques mots:

- Lut Breiz ! Belle journée n'est-il pas ? J'espère que le petit ne te pose pas de trop de souci avec toutes ces tâches à faire désormais, même si je sais que ma petite Mae s'occupe bien de toi, sache que si tu as besoin d'aide pour quoi que soit, de grands travaux ou autre n'hésite pas à me le demander, ce sera avec plaisir que je te rendrais service !

Il leva sa choppe pour accompagnée ses mots et but avec plaisir le breuvage...