[RP]Le salon

Elle avait dégotté, en même temps que son petit bureau, quelques meubles en mauvais état, et elle voulait les installer dans la pièce palière afin d'en faire un petit salon.
Elle les cira, monta le coffre, les deux sièges, et la petite table, elle les installa après avoir déroulé un tapis de laine. Le seul bien un peu trop cher pour elle qu'elle s'était offert... Il était coloré et chaleureux, il serait parfait ici pour recevoir des amis!
Elle installa ensuite une crémaillière dans la cheminée, et disposa près de l'âtre la tisanière, le coffret qui contenant ses herbes à tisanes, et une aiguillère d'étain contenant de l'eau, près d'un bassin, afin que ses invités puissent se laver les mains avant de comencer leur collation.

Bilok frappa a la porte


Il y a quelqu'un ????


il attendit une reponse..

Breiz dévala l'escalier et ouvrit laporte à la volée.

Bilok! Oh, tu es venu! Entre vite, il fait froid dehors!

Bilok entra et ferma la porte.


C'est vrai qu'il fait frais. Je passais dans le coin. Désolé je n'ai rien amené mais je vais me ratraper demain. je suis en train de finir une gravure... je suis sûr que tu vas l'adorer.

Bilok fit le baise main a Breiz.



Tu es en beauté ce soir .. et c'est très joli chez toi ..

Bilok continua à parler avec Breiz ..

Breiz entraina Bilok dans la visite de sa maison, sans cesser de parler.

Bon alors là tu vois, ça sera mon échoppe quand j'aurais assez de sous pour en ouvrir une, et puis on passe par l'arrière boutique pour monter au salon, je vais te faire une tisane, tu veux? Ada dort dans ma chambre pour l'instant, et... une gravure?

Breiz servit une tisane à Luwangel et s'installa près du feu

Breiz rougit.

Tu n'es qu'un vil flatteur!

Elle sirota tranquillement sa tisane, se demandant à quoi pouvait bien songer Bilok.

Breiz ouvrit un petit coffre de bois et sortit des verres, qu'elle fit passer à tout le monde.

Par contre Maeghane je te préviens, si ton frangin découvre ton larcin, je ne paie pas pour toi!!

Elle fit un grand sourire.

Luwangel pris la bouteille avec un petit sourire aux lèvres et l'examina. C'était Mâconnais rouge de 1451, une bonne année.

-Il m'a l'air fameux.

Puis il pris le gobelet que lui tendait la maitresse de maison et le tendit à Maeghane pour qu'elle le serve.

-A Breiz ! dit il

Luwangel leva ensuite son verre et trinqua avec les autres.

Breiz prit le gobelet que Maegh lui tendait, et jeta un coup d'oeil à Bilok, qui semblait absorbé dans ses pensées. Elle savait à quoi il pensait.

Elle leva son verre à son tour.

A Naxia. Et à sa prompte guérison!

ayant sont carton d'invitation en main
aulit chercha la nouvelle demeure de breiz .qu'il eu beaucoup de mal a trouver

-ENFIN !!! pensa t'il JE CROIS QUE ME VOILA RENDU !!!!

il trouva d'ailleur la maison tres jolie ,mais celle ci lui paru vide .
sa petite soeur comme il aime l'appeller devais encore sans doute travailler

-OH EH !!!!! BREIZ TU ES LA ??????

devant le manque de reponse venant de la maison ,il glissa le bouquet de fleur sauvage qu'il avait cueilli sur un montant de la fenetre .
et bien je repasserais plus tard ,il repris sont chemin en pensant a breiz decouvrant les fleurs et se demandant de qui pouvaient-elle venir ???

Breiz rentra bien tard de son travail, ce soir là. Chargée du couffin d'Adana, et cherchait les clefs de sa maison au fond d'une poche quand elle vit un bouquet de fleurs devant sa porte. Au vu du froid ambiant, celà devait être les dernières de la saison. Elle les ramassa, se demandant bien qui avait pu les déposer là. Après avoir couchée Ada à l'étage, dans la chambre, elle déposa les fleurs dans un pot, au salon, et y versa de l'eau.
Puis elle se coucha à son tour, passant en revue les personnes susceptibles de lui avoir fait un tel cadeau.

Bilok arriva avec des planche sans une charrette..


Désolé je viens t'amener les meubles que je t'avais promis. Je les ai démonté pour les amener plus facilement..


Bilok vida sa charrette:

Ca donne soif tout ça.. je vais te monter l'armoire. Par contre pour la table que je t'avais promis, je te l'amène tout a l'heure. je monte l'armoire mais tu me dis ou je la monte.

Bilok prit une planche et attendit les instructions de Breiz

Oh Bilok! Merci beaucoup!! On va mettre l'étagère dans l'arrière boutique, j'ai besoin d'entreposer ma vaisselle...

Elle regarda Bilok, qui ne disait rien.

Je sais je sais... la vaiselle et tout ça c'est pour les riches... Mais j'aime tellement cuisiner que ... je cède à mes impulsions culinaires....

Elle aida Bilok à transporter les planches et à monter le meuble, puis lui servit une tisane.

Tiens, tu l'as bien méritée! On ira chercher la table plus tard... asseyons nous un instant... euh... oui pour s'assoir faut d'abord monter au salon, parce qu'ici... pour l'instant c'est un peu limité...

Elle sourit.

La nuit dernière Shirase avait vraiment mal dormi. Ne trouvant point le sommeil il s’était occupé avec le tapis de laine, et l'avait mis en morceaux.....
Il avait donc passé son après-midi à chercher le même à travers tout mâcon. À la fin de celle-ci, après avoir parcouru mâcon en large en long et en travers, il passa à la maison, et déposa dans le salon ce tapis fraichement acquis .

IL en avait profité pour trouver quelques fleurs, sous la neige, sur le chemin qui longeait le lac, et espérait vivement que tout ce ci plairait son amour.

Breiz rentra tard ce soir là. Son aimé dormait déjà du sommeil du juste, elle l'entendait dans la chambre. En arrivant sur la palier elle découvrit un tapis -le même tapis- que celui que Shirase avait mis en charpie durant sa nuit d'insomnie de la veille. Et des fleurs. Il avait du chercher pour en trouver sous la neige.

Elle mit les fleurs dans un vase et ouvrit doucement laporte de la chambre.

Shirase avait laissé la maison telle qu'elle depuis que Breiz était partie dormir à la taverne. Voilà 10 jours que rien n'avait bougé.

On sentait un peu l'odeur du vieux bois ressortir de toute part, du à l'humidité sans doute. La poussière avait commencé à prendre ses aises de toute part, donnant à tout le mobilier un manteau grisâtre.Tout ceci sans compter les arachnides qui avaient commencé à bien s'installer sur le plafond.

Shirase passa sa main sur un des petits coffres qui étaient rangés sur les bas-côtés du salon. Il se dit que si un jour Breiz revenait, il ne pouvait pas laisser cette demeure à l'abandon. D'autant plus qu'il voulait construire sa boutique pour devenir tissant. Mais il fallait redonner vie à cette demeure, c’était devenu un impératif .Il commença ainsi à rallumer le feu de la cheminée, donnant à toute la maison une bouffée de chaleur.