[RP ouvert à tous] AU FEU !!!!!

[hrp] lachez vous, faite vous plaisir, évitez juste de demasquer le bourrain de suite histoire de faire durer le plaisir [hrp]

[Une heure avant dans la taverne de la bougresse d'aristote]

Le Bourrain regardant sa très chère sœur, pas tout à fait heureuse à cause de ce passé qui la poursuivais toujours, était bien décider à faire quelque chose pour elle.

Elle venait de lui parler de sa visite dans sa maison de l'Orée du bois, qui fut jadis un lieu de bonheur, mais qui aujourd'hui était envahis par les ronces et autres détritus.

Elle lui avait parlé de l'état déplorable du lieu qui avait l'air d'avoir été saccager par des vandales et cela lui donna une idée...

Je vais aller cramer ce lieux de chagrin, ainsi tu recouvrera la liberté totale et tu pourra définitivement passé à autre chose ma sœur, ce dit’ il.

Mae ! , je reviens de suite, je dois aller vérifier mes lignes que j'ai jetées au matin dans le lac.

Maeghane acquiesça d'un signe de tête accompagné d'un ;

Ok a plus tard frérot !

Il alla dans la réserve et pris quelques bouteilles d'huile qu'il fourra dans un sac avec sa longue cape noire.
Ca devrait faire l'affaire....

Il alluma sa pipe et sortis d'un pas un peu plus pressé qu'à l'habitude...

[ sur la route ]

Pas grand monde dans les rues de Maçon, mais mieux vaut être prudent...

Il fit un détour pour passé par les champs, et arrivé par derrière...

Au loin quelques bruits dans les chaumières, des chandelles qui s’éteignent, signes que la nuit est avancée et que les bonnes gens de Maçon ce préparent à être bercer par des rêves Boulassien.
Le vent dans les feuilles des quelques arbres de la région, ainsi que cette nuit sans lune, couvriraient ses pas, il enfila a la vas vite sa cape et pris la direction de la chaumière sans se retourner….

se parlant a lui même..

Et si elle me découvre… M’en voudra t’elle ? comprendra-t-elle mes intentions ? Peut importe, cela me semble juste, il ne sert a rien de porter ses cadavres trop longtemps, ca me rend triste de la voir comme ca…

Ses pas le mènerai jusqu’au beau potager bien entretenu de Mae, il foula la terre meuble travaillée avec amour en prenant soin de ne pas abîmer les précieux légumes…

Il s’arrête une minutes pour être sur que rien ne bouge, seul au milieu de se champ, au loin quelques bruits de vie nocturnes.

[dans la maison]

Soudain un bruit se fit entendre dans la maison, quelque chose tombe à terre, un long sifflement et une course folle… deux chats sortirent de la maison pour aller continuer leur bagarre un peu plus loin dans un bruit infernal…

Arf… t’ain de chats….

Il entra prudemment par l’arrière de la maison en jetant un dernier coup d’œil au dehors… personne….

Il rassemble quelques débris de meubles, sort les bouteilles de son sac et repend leur contenu un peu partout dans la pièce…
Un dernier coup d’œil a la fenêtre, toujours nuit noire et quelques chats….

Petit coup de briquet sur une vielle lettre qui traine, la disposer correctement pour que le feu prenne bien…
Une petite langue orange apparait, puis une deuxième, il est temps de partir, prendre ses jambes à son cou pour ne pas se faire voir…

Il sortit en courant en reprenant la route qu’il avait prise à l’aller, un petit coup d’œil par-dessus son épaule et déjà les premières lueurs du sinistre dansaient dans la nuit…

Zwarty qui habitait pas loin entandait un bruit étrange, une sorte de hurlement de chat, comme si on le brulait vif ....

Zwart sorti de sa demeure de l'orée du bois avec pour seul habit un tout petit ganbison et apercu pas loin un feu de joie :

Vindjeu Tristemine SOrgnart Iacobus venez voir ... ça crame pas loin, il y aura bientot de la place pour vous construire une baraque dans ce quartier huppé ...

Zwart n'écoutant que son courage accouru dans la maison en flamme pour voir si il n'y avait rien à récupérer avant qu'elle ne parte en flamme.

Tristemine, les yeux embrumés, sorti en titubant de la demeure avec pour seuls vêtements sa longue chemise de lin et ses bottes écarlates.

*baille*.....woui...Ma...Maître...Qu'est ce qui se passe enc...(voit les flammes dévorés la nuit et l'ombre de son maître se précipiter vers ces dernières)

Bon dieu !!! Courage maître !!! Je vais chercher ce qu'il faut et j'arrive !!!

Tristemine se précipita dans la demeure et n'en ressorti que quelques minutes plus tard armé d'une broche garnie de saucisses et de sa mandoline dans l'autre main...

Ca c'est un vrai feu de St-Jean mes aïeux !!!!!!

Zwart ressorti un petit tonneau qui trainait dans la demeure en flamme en voyant tristemine armé d'une brochette:

Aaaaaaaaah écuyer regarde mon ganbison est en train de bruler !!!! Ahahhahahhahahahha ça fait maaaaaaal ....


Mais j'ai trouvé ceci ....

Vous êtes un héros Ô mon Maître !!! Mettre votre vie en péril pour sauver ce nectar est un geste digne du grand chevalier que vous êtes !

Vérifions vite que ce nectar n'a pas souffert de cette bouffée de température. Je vais mettre les saucisses près de la demeure...

Iacobus réveillé en sursaut par un cri de Zwart résonnant dans son heaume cru à une invasion barbares ou une tentative de meurtre sur zwart
Il ne vit que Zwart s'affairant frénétiquement autour d'un fut et Tristemine tournant des saucisses autour d'un feu plus qu'impressionnant pour cuire quelques saucisses


hé z'avez quand meme pas incendié cette maison pour faire ripaille !!! tout ça pour des saucisses et un fut c'est excessif les amis ......m'enfin ca tombe bien mon estomac crie famine
hého Tristemine moi j'aime mes saucisses bien grillées ,zwart tu m'offres meme pas pas à boire ???faut que je prépare mon palais à ces savoureuses saucisses.

ARRIVE IACO !!!

ON VA FAIRE UNE GIGE !!!

Réveillée en pleine nuit par des odeurs et des lueurs cauchemardesques, Maeghane tira les rideaux et fut étonnée de voir, au loin, presque à l'orée des bois, de longs rubans orange qui léchaient le ciel sombre d'une nuit alunée. Point besoin de lunette d'approche pour se rendre compte que le quartier où se faisait ce feu de la St-Jean était bel et bien celui où leur maison, à elle et JeanBonfort se tenait. Alertée, elle enfila un châle par-dessus sa robe de nuit et, les cheveux en bataille et l'oeil égaré, s'en fut du côté de la maisonnette maintenant en décrépitude.

A dire vrai, ses champs l'inquiétaient bien plus que la mansarde déja rongée par la vermine. Plus elle avançait et plus elle se demandait ce qui avait bien pu allumer cet incendie. Le bois plutôt vermoulu n'aurait pu prendre tout seul, pas plus que l'alentour cerclé de ronces et envahit de mauvaises herbes. Tandis qu'elle réfléchissait à tout ça, la tête baissée pour voir où elle marchait -heureusement, la lune sortie des nuages éclairait fort bien son chemin- ses narines se heurtèrent à une odeur horrible, curieux mélange de chair à saucisse, à canon et de bière frelatée. Un haut-le coeur la submergea, autant pour ses souvenirs partis en fumée que pour les effluves malsaines qui émanaient de la maison en flamme. La cave à vin de Jean!!!!

Au milieu des crépitements, on entendit soudainement un ** POW ** retentissant. La réserve d'alcool de JeanBonfort venait d'exploser, faisant éclater le reste des murs encore debout. Les hommes qui tournaient autour du barillet en reçurent quelques débris et Maeghane s'arrêta pour ensuite faire quelques pas en retrait. Elle reconnu Tristemine et lui fit un signe de la main, espérant qu'il la reconnaisse. Les bras croisés sur sa poitrine et le regard fixé sur le brasier, Maeghane resta là, priant la divine Meyre d'épargner ses légumes et son champ de maïs tout près...